C'est avec plaisir que nous avons revu le film « le fils de Caroline chérie ». C'est un film d'amour, d'actions et d'épées sur fond de guérilla espagnole.

Les principaux acteurs sont les suivants : le beau séducteur Jean-Claude Pascal, la belle Brigitte Bardot à ses débuts en belle señorita.

Les décors de montagne sont magnifiques ainsi que les costumes d'époque.

Ce film nous a ramenés bien loin en arrière, en 1954.

Nous avons passé un bon moment.

Marie M.

Mes petits enfants ont adopté une chienne Labrador noire dénommée Djuna. Elle est très obéissante et bien dressée.

Le 30 décembre 2010 est arrivé Léandre, un charmant bébé. Comment Djuna va-t'elle réagir ? Sera-t'elle jalouse ou pas face à ce nouvel arrivant au sein de la famille ?

Bien au contraire, Djuna veille docilement sur Léandre. Si ce dernier pleure, Djuna geint plus fort que lui.

Quelle joie de se retrouver à la fin de la journée quand Léandre rentre de chez la nourrice ! Comme baby-sitter Djuna assure, elle veille sur le sommeil du petit.

Mais comment cela va-t'il se passer quand Léandre fera ses premiers pas ?

Pour le moment, c'est une grande histoire d'amitié entre Léandre et Djuna.

Ce récit est touchant dans ce monde de « brutes ».

Marie M.

Arrière grand- mère très attendrie pour ce petit Léandre.

C'est avec grand plaisir que nous avons vu arriver la fin des vacances de Céline.

Avant son départ, avec l'aide de Vincent, d'Isabelle et de Marion, elle s'était excellée dans l'art du scrapbooking .

Nous avons pu pendant son absence feuilleter le bel album photos de la journée des familles …

Photos des résidents et familles réunies mêlées à de jolis cœurs sur lesquels chacun avait inscrit ses petits mots d'amour et d'amitié qui était le thème de la journée .

C'est un très bel album souvenirs. Nous espérons avoir le même succès l'an prochain .

Par ailleurs les jeux de mémoires qui ont repris sont soumis à des questions de plus en plus pertinentes et nous aimons cela car le rire est de la partie.

Les séances de cinéma programmées au sein de la résidence, tous les 15 jours, sur des sujets variés (films, reportages) sont très intéressants et permettent aux personnes qui ont des difficultés à se déplacer de les voir.

Marie M.

Autrefois j'aimais fouiller dans les greniers et les vieilles armoires...

A la recherche de quoi ? Peut-être de ce qu'avait été la vie de mes aïeux ? Peut-être d'un secret ?Toujours est-il qu'un jour j'avais retrouvé l'antique moulin à café de mes grands parents

Ce moulin que mémé mettait entre ses deux genoux, assise sur une chaise, auprès du feu et qu'elle tournait jusqu'à épuisement des grains de café.

Le tiroir rempli, elle le vidait avec délicatesse dans le philtre. En revoyant ce moulin, j'avais retrouvé quelque chose qui me rattachait à mes lointains souvenirs. Mes grands parents que j'avais beaucoup aimés. Cette cheminée aux volutes bleues qu'autrefois au rêve m'invitait. Aux caresses du feu, mon âme vagabondait !!!

Sur le manteau, une série de pots bien rangés : la boîte de sucres, le café, la chicorée et le moulin à café.

Comme décor, un bandeau brodé par des mains habiles, une longue table flanquée de ses deux bancs, un vaisselier, une armoire, un lit à baldaquin orné d'un lourd tissu bordé d'une frange à pompons !

Qui peut dire devant un bol de café, combien de secrets se sont dévoilé ? Les femmes entre elles parlant de leurs doutes, de leurs inquiétudes !!

Le café, un moment d'amitié à partager...

Marie M.

Je me souviens de ma mère qui allait laver le linge au petit lavoir, près de chez nous. Quel travail pénible !

Ma mère mettait dans une brouette le linge, la lessiveuse, le savon, la brosse. Un feu était allumé sur lequel un gros chaudron en fonte remplit d'eau bouillait. Le lavoir était le rendez-vous obligatoire des femmes, lieu d'échanges, de nouvelles sur les uns et les autres.

Pas de machine à laver automatique mais des bras vigoureux et de « l'huile de coude » !

Ces séances intenses pouvaient être programmées une fois par semaine ou une fois tous les 15 jours.

Et pour sécher le linge ? Ce dernier était étendu dans un pré et séchait au soleil, aux beaux jours. Et l'hiver ? La cheminée remplaçait le soleil. Des cordes étaient accrochées devant l'âtre et le linge y pendait. C'était amusant pour les enfants de s'y cacher.

Mes petits enfants sont surpris quand je leur raconte l'ancêtre de la machine à laver.

Le progrès a quand même du bon et facilite le travail quotidien des ménagères. Le ménage ne m'a jamais passionnée mais j'étais bien obligée de le faire. Quel plaisir de vivre dans une maison qui sent bon et propre...

J'embrasse toutes les ménagères et vive le progrès !!!

Marie P.