Le mot « galette » nous fait penser à la Bretagne, les danses bretonnes, leurs galettes de blé noir accompagnées de cidre. Chez nous, sur la table, il y avait des rillettes, du pâté, une saucisse accompagnée d’haricots blancs. Pour le dessert, on avait l’habitude d’y mettre du beurre et de la confiture.
De son côté, la galette vendéenne est composée d’un mélange de farine de froment et de blé noir, donc la pâte est plus légère et facilite la digestion.
Il y aussi la traditionnelle galette des rois à la frangipane. L’attrait de la galette est d’avoir la fève. Il arrivait que certains l’avalent pour ne pas payer la seconde ! C’est aussi la passion pour les collectionneurs de fèves.
La galette « Saint-Michel », dont l’usine est établit à Saint-Michel Chef-chef, a un petit air salé. Elle ressemble à une fleur avec son ornement de dents tout autour. La ville est représentée à l’intérieur de ce biscuit. Des cartes postales racontent l’histoire de la recette ou de Saint-Michel.
Le sablé est aussi rond que la galette. Il existe la sablée pour les personnes n’aimant pas la frangipane. Mais, elle est beaucoup plus sèche, sauf si vous la trempez dans un bol de café, thé ou chocolat. Elle est également moins chère pour les gens à petits budgets. Il arrive que les boulangers ajoutent une fantaisie pour la rendre moins sèche : de la compote de pommes par exemple, ou encore, de la crème pâtissière.
Les pensionnaires de la Croix du Gué